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L’étude Work, Love, Play est une vaste étude longitudinale sur les parents de même sexe. Elle vise à étudier de nombreux aspects de la vie familiale pour un échantillon donné et à examiner les changements au fil du temps. L’étude se concentre particulièrement sur deux domaines clés non traités dans littérature actuelle : les facteurs qui soutiennent la résilience dans les familles homoparentales et les résultats de santé et de bien-être pour les couples de même sexe qui subissent une séparation, y compris la négociation d’arrangements parentaux après la séparation. Le présent document vise à fournir un aperçu complet de la conception et les méthodes de cette étude longitudinale et à discuter de sa signification.
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Cette étude a examiné les facteurs de stress quotidien chez les adultes âgés de 18 à 89 ans (M = 49,6 ans) sur une période de 30 jours. Les auteurs ont examiné le rôle des facteurs individuels (âge, différenciation de soi, perception du contrôle) dans la réactivité physiques et psychologique sur les agents de stress quotidiens. Les résultats sont conformes à la perspective que les adultes sont moins réactifs au stress dans les jours où ils se sentent en contrôle et que les jeunes adultes et les adultes avec une différenciation de soi prononcée sont plus vulnérables au stress. Les résultats peuvent varier selon le type de stress. Ils démontrent l’importance de prendre en compte comment les caractéristiques individuelles interagissent de différentes manières afin d’influencer la réactivité à différents types de stress.
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Les études animales sont un élément clé dans la recherche de déterminants biologiques de la résilience, et ont commencé à identifier les circuits neuronaux et les voies moléculaires qui interviennent dans les phénotypes résilients. Cette revue décrit et tente d’intégrer les développements récents en recherche sur la résilience selon des perspectives psychosociales, développementales, génétiques et neurobiologiques.
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Cette étude s’est penchée sur les associations entre les états de tristesse et de maîtrise de la colère, la réticence à exprimer les émotions, et l’agression physique et relationnelle entre deux cohortes d’élèves majoritairement afro-américains de cinquième et huitième années. Les analyses de régression multiple ont indiqué des associations uniques entre l’agression relationnelle, la réticence d’expression et la régulation de la tristesse. En revanche, l’agression physique, mais pas l’agression relationnelle, a été associée à la maîtrise de la colère.
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Les adolescents et les jeunes adultes survivants du cancer nécessitent des mesures psychométriques rigoureuses afin d’évaluer leur bien-être psychosocial. Sans échelles méthodologiques adéquates, l’exactitude des informations obtenues en rapport à la prévalence des besoins, les facteurs prédictifs du risque, et le succès potentiel de toute intervention, peut être mis en doute. Cette revue évalue les propriétés psychométriques des mesures visant spécifiquement à identifier l’état de santé psychosociale de ces individus.
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L’objectif de la présente étude était de déterminer si la déclaration des parents sur l’état de résilience familiale pouvait aider à prédire les troubles de l’enfant provoquée par le stress post-traumatique (SPT) lors de catastrophes et les symptômes émotionnels généraux, et ce, indépendamment d’un large éventail de variables, y compris les facteurs liés à l’événement, les troubles antérieurs possibles de maladie mentale de l’enfant et l’intégration sociale. Dans cet échantillon post-catastrophe, les enfants avec des problèmes actuels de santé mentale et ceux de familles à faible résilience ne démontraient pas un risque élevé de stress post-traumatique.
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L’objectif de cette étude était d’examiner les trajectoires de résilience sur une période de 25 ans chez les personnes qui en tant qu’adolescents ont reçu un traitement pour la toxicomanie, et d’étudier un échantillon clinique, et un échantillon de la population générale correspondant. Les auteurs ont observé que les personnes qui avaient présenté des problèmes d’abus de substances à l’adolescence étaient moins susceptibles d’être résilients au cours des 25 années suivantes que pour l’échantillon de la population générale correspondant. Quatre trajectoires distinctes de résilience ont été identifiées. La sévérité et le type de problèmes présentés dans l’adolescence déterminent les quatre trajectoires.
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Cette étude a examiné le phénomène de résilience comme une absence de psychopathologie, malgré l’exposition aux traumatismes dans une population urbaine défavorisée et très traumatisée. La résilience est significativement associée à une meilleure mémoire non verbale, à une habilité à coder, stocker, et reconnaître visuellement des stimuli illustrés concrets et abstraits. La mémoire non verbale peut être un indicateur d’apprentissage émotionnel, qui est souvent déstabilisée dans la psychopathologie liée au stress, et elle peut contribuer à la compréhension de la résilience.
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Les événements défavorables de la vie sont la cause de développement de troubles de l’humeur, et souvent les gènes de vulnérabilité ne peuvent être détectés que lorsque l’impact environnemental a été évalué objectivement. Pourtant, la continuité du diagnostic de la dépression de la petite enfance à l’âge adulte est limitée, tandis que la dépression de l’enfance augmente les chances d’avoir d’autres troubles connexes tels que l’abus de substances et des troubles de la personnalité. Le fait que des gènes spécifiques aient un impact ou non semble dépendre de la période de la vie tant en raison de la maturation biologique et des différences dans les principaux facteurs environnementaux, mais aussi l’engagement actif - ou non - des sujets vulnérables en rapport à leur environnement. Il semble que les sujets avec des tendances névrotiques génétiquement déterminées sont susceptibles de choisir des stratégies d’adaptation qui réduisent les événements perçus comme nuisibles et peuvent par ce moyen développer une résilience face à des troubles affectifs.
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Cette étude a comparé trois différents types d’intervenants dans les familles divorcées : père, mère et grand-parent (s) et vise à : 1) comparer la perception des adolescents dans leur niveau d’adaptation et de résilience familiale et, 2) d’identifier les variables de résilience familiale qui influent sur l’ajustement des adolescents.
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Une gestion inefficace des défis et obstacles majeurs auxquels les jeunes font face sans un soutien social adéquat les rend à risque pour un certain nombre de comportements malsains, y compris les comportements à risque liés à l’acquisition du VIH. Cet article explore les fondations du développement précoce de l’identité du genre, les défis dans le développement des jeunes transgenres, et les données limitées qui existent sur les jeunes transgenres et les risques liés au VIH. Le concept de résilience est présenté comme une zone d’équilibrage pour l’évaluation et l’intervention dans la pratique et la recherche future avec les jeunes transgenres.