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Présentée les 6 et 7 avril 2011 à Brighton au Royaume-Uni, cette conférence examinera ce que la recherche en résilience nous révèle et considérera certaines façons de travailler à la lumière de cet examen. Elle se demandera également comment la résilience peut favoriser des réponses saines en ces temps difficiles.
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Ce colloque aura lieu à Montréal les 27 et 28 avril 2011. Il vise à : questionner la portée pratique du concept de résilience en adaptation/réadaptation ; bâtir des ponts entre l’univers théorique du concept de résilience et celui des applications pratiques en adaptation/réadaptation ; analyser des expériences d’application du concept en intervention clinique et à proposer des solutions en vue de contourner les barrières organisationnelles liées à la mise en place du concept.
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Cet événement organisé par le Groupe de recherche et d’action sur la victimisation des enfants (GRAVE) et le Centre jeunesse de Montréal de l’Institut universitaire (CJM-IU) aura lieu le 25 février 2011 à Montréal. Il s’adresse aux membres de la communauté scientifique et aux intervenants sur la violence chez les jeunes. Lieu privilégié de partage de savoirs et de connaissances pour les chercheurs, intervenants et étudiants, ces conférences offrent un regard renouvelé sur les plus récents sujets d’actualité touchant la recherche et l’intervention auprès des jeunes en difficulté.
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Cette conférence aura lieu le 3 mars 2011 à Edmonton, Alberta, Canada. Cette journée de formation portera sur la capacité humaine à surmonter et transcender l’adversité, offrant des suggestions pratiques et fondées sur la recherche sur la façon dont les enfants, les jeunes, les familles et les communautés peuvent y parvenir. Cette conférence s’adresse à toute personne aux prises avec une crise, de la douleur, un traumatisme ou un stress. L’événement s’adresse aussi à ceux qui aident les autres à surmonter ces problèmes.
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Chargé d’une mission sur le suicide des jeunes par Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse en France, le psychiatre Boris Cyrulnik avait reçu l’équipe de 20 Minutes à l’occasion de la 15e Journée de la prévention du suicide. Voici cette entrevue.
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Une nouvelle recherche suggère que l’intimidation par les pairs peut augmenter le risque auprès de la victime de développer des symptômes psychotiques plus tard dans sa vie. Les mères des enfants ont été interviewées et, à 12 ans, les enfants ont été interrogés sur l’intimidation et les symptômes psychotiques comme les hallucinations, les délires ou la paranoïa. L’étude a révélé que les enfants qui ont été victimes d’intimidation par les pairs ont été deux fois plus susceptibles d’éprouver des symptômes psychotiques à 12 ans que les enfants qui n’ont pas souffrent de traumatismes semblables.
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Les enfants adultes ayant subi le divorce de leurs parents sont plus susceptibles d’avoir songé sérieusement au suicide que leurs pairs issus de familles intactes, suggère une nouvelle étude de l’Université de Toronto. Dans un article publié en ligne dans la revue Psychiatry Research, les enquêteurs ont examiné les différences spécifiques entre les sexes auprès d’un échantillon de 6 647 adultes, dont 695 ont vécu le divorce de leurs parents avant l’âge de 18 ans. L’étude a révélé que les hommes issus de familles divorcées ont trois fois plus de chances d’avoir des idées suicidaires par rapport aux hommes dont les parents n’ont pas divorcé. Les filles du divorce avaient 83 % plus d’idées suicidaires que leurs pairs qui n’avaient pas vécu le divorce des parents.
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Les enfants qui grandissent dans la pauvreté ont des problèmes de santé en tant qu’adultes. Mais une nouvelle étude constate que les adolescents pauvres qui vivent dans des collectivités dont la cohésion et le contrôle social est meilleur peuvent obtenir une certaine protection ; ils sont moins susceptibles de fumer et d’être obèses à l’adolescence. La nouvelle étude, publiée dans Psychological Science, une revue de l’Association for Psychological Science, est publiée dans le cadre d’un examen à long terme des enfants grandissant dans la pauvreté dans les zones rurales du nord de l’État de New York.
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Les étudiants peuvent combattre l’anxiété et améliorer leur performance en écrivant au sujet de leurs soucis immédiatement avant le début d’un examen, selon une étude de l’Université de Chicago publié dans la revue Science. Les chercheurs ont constaté que les élèves sujets à l’anxiété avant l’examen ont amélioré leurs notes, après avoir écrit pendant 10 minutes sur ce qui causait leurs craintes. L’article apparaît dans le numéro de Science du 14 janvier et est basé sur la recherche soutenue par la National Science Foundation.
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La Fondation Young au Royaume-Uni a travaillé avec des membres de la communauté, des fournisseurs de services locaux et des familles vulnérables dans le lotissement de Bemerton Heath à Salisbury. Leur travail évaluait le niveau de bien-être ainsi que la capacité de la communauté à améliorer leur propre bien-être et le soutien aux familles vulnérables. Le projet a utilisé un certain nombre d’approches développées par la Young Foundation, y compris les équipes de travail du voisinage, la mesure du bien-être et de la résilience (WARM) et leurs travaux sur l’engagement communautaire. Le présent rapport expose les conclusions du travail et comprend des recommandations sur la façon dont la communauté et les fournisseurs de services peuvent répondre à cet ambitieux programme.
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Cette stratégie établit une approche ambitieuse pour la santé mentale et les dépendances en Ontario, une approche axée sur l’ensemble du gouvernement et de la société. Pour mettre cette stratégie en action, l’Ontario établira un plan concret de mise en oeuvre qui énonce les diverses activités qui seront intégrées graduellement au cours des 10 prochaines années pour atteindre chacun des objectifs. L’approche générale de ce plan de haut niveau consiste à mettre à profit ce qui fonctionne déjà bien, à définir les meilleures pratiques et à les diffuser dans les collectivités et auprès des organismes et des fournisseurs et, éventuellement, à imposer des normes pour la disponibilité des services, leur qualité et leur intégration dans la province. Les auteurs pensent que cette approche permettra à l’Ontario de tirer parti de l’expertise et de la créativité de toutes les régions de la province et de produire le plus grand impact possible sur la santé mentale et le bien-être des Ontariens et des Ontariennes.
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L’évaluation des interventions et des politiques visant à promouvoir la résilience, et de la recherche pour comprendre les déterminants et les associations, exigent des mesures fiables et valides pour assurer la qualité des données. Ce document examine systématiquement la rigueur psychométrique des échelles de mesure de résilience développé pour une utilisation dans la population générale et clinique.
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La reconnaissance précoce et les soins subséquents des personnes touchées par la violence du partenaire intime (VPI) peuvent favorisés davantage les résultats positifs de la santé à court et à long terme. Malgré l’importance de la relation santé-VPI maternelle, peu d’études ont abordé les préoccupations de santé mentale des femmes victimes de violence. Le but de cette étude était de sonder les perceptions des femmes sur l’expérience de la violence conjugale pendant la grossesse et après la naissance et examiner l’impact de la violence sur leur santé mentale.
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La maltraitance des enfants a été liée à une mauvaise santé des adultes, mais beaucoup de recherches antérieures ne comprennent que des échantillons cliniques de femmes, se concentrent exclusivement sur les abus sexuels et/ou ne parviennent pas à contrôler les antécédents familiaux et les caractéristiques de l’enfance, les deux facteurs de confusion potentiels. D’autres recherches sont nécessaires pour obtenir des estimations précises et généralisables afin d’éduquer les cliniciens qui ne sont généralement pas conscients du lien entre la violence et la santé des adultes. Le but de ce projet est d’examiner de quelle manière la violence physique subie durant l’enfance par les parents a un incidence sur la santé mentale et physique à la vie adulte et d’explorer l’effet d’atténuation des antécédents familiaux et des adversités de l’enfance.
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Ce feuillet d’information vise à aider les jeunes à comprendre comment les difficultés économiques sont susceptibles de les toucher et les aider à réfléchir sur la façon dont ils peuvent y faire face en ces temps troubles.
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Cette étude examinait le lien entre la victimisation découlant de l’intimidation et la toxicomanie, et testait le rôle médiateur de la dépression auprès des adolescents. Les données transversales ont été recueillies auprès d’un échantillon américain de 1 495 élèves de secondaire 4 ayant participé à un sondage de 2005/06 sur les comportements de santé en âge scolaire aux États-Unis. Une modélisation d’équation structurelle multi-groupe montre que la victimisation était liée à la consommation de substances chez les gars et les filles. Chez les filles, la dépression était associée positivement à la fois à la victimisation et l’utilisation de substances et modifiait l’association entre les deux variables. Chez les hommes, la dépression était associée à la victimisation, mais pas avec l’usage de substances.
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Cette trousse a été produite par le Medical Traumatic Stress Working Group du National Child Network et vise à sensibiliser les prestataires de soins de santé au stress post-traumatique associé à des événements en pédiatrie médicale et lors de traitement médical, car il peut affecter les enfants et les familles. Il veut aussi promouvoir une pratique éclairée en soins de santé pédiatriques liée aux traumatismes en milieu hospitalier à travers le continuum de soins et dans une variété de paramètres au sein de l’hôpital - par exemple, les soins d’urgence, les soins intensifs, les unités d’hospitalisation spécialisées, la pédiatrie générale.
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Cette étude visait à améliorer la compréhension générale de la résilience des communautés aux efforts de rétablissement en cas de catastrophe en se concentrant sur un type particulier de communauté composée des agences de travail local qui sont devenues des équipes de première intervention après une catastrophe. Les questions qui ont guidé l’étude étaient les suivantes : Quelles sont les caractéristiques de résilience et les activités utilisées par les équipes de première intervention de ces communautés en milieu de travail ? Y a-t-il des différences entre les équipes de première intervention communautaire en milieu de travail dans les caractéristiques de résilience communautaire et les activités ? Est-ce que les caractéristiques de résilience communautaire et les activités utilisées dans cette reprise après sinistre étaient semblables ou différentes de celles utilisées dans d’autres contextes et de quelles façons ?
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Cet article soutient que, parce que la résilience se produit même lorsque les facteurs de risque sont nombreux, l’accent doit être mis sur le rôle que jouent les écologies sociales et physiques sur les résultats positifs de développement lorsque les individus rencontrent d’importantes quantités de stress. Quatre principes sont présentés comme la base d’une interprétation écologique de la résilience : la décentralité, la complexité, le caractère atypique, et la relativité culturelle. Ces 4 principes, et les recherches sur lesquelles elles sont fondées, nous donnent une définition de la résilience qui met l’accent sur les antécédents de l’environnement et la croissance positive. Ce cadre peut guider le développement futur de la théorie, la recherche et la conception des interventions qui favorisent le bien-être des populations qui subissent les environnements qui inhibent les processus de promotion de la résilience.
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Les auteurs se basent sur un cadre conceptuel socioécologique largement reconnu et présument que la maltraitance physique envers les enfants est déterminée par des causes multiples. En conséquence, ils suggèrent une approche thérapeutique multisystémique pour intervenir adéquatement auprès des enfants qui ont subi de la violence physique. L’adaptation de la thérapie multisystémique (TM) en cas de maltraitance et de négligence étend l’application de cette thérapie ainsi que la recherche approfondie sur la question au domaine comme les perturbations émotionnelles graves chez les adolescents ou chez les délinquants sexuels juvéniles. La TM est adaptée aux besoins individuels de la famille et est offerte à domicile afin de surmonter les barrières relatives à l’accès aux services.
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Cette étude a examiné l’influence du capital psychologique positif (PsyCap), une méta-construction qui combine des prédispositions psychologiques établies pour résister aux stress, sur le bien-être des soldats au cours de déploiement au combat. Les auteurs discutent des implications pour la recherche sur la résilience et le traumatisme en milieu de travail et pour aider les travailleurs à faire face aux risques potentiellement traumatisants.
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La résilience et la vulnérabilité sont des caractéristiques distinctives personnelles influencées par des facteurs environnementaux tels que les contextes socio-culturel et institutionnel. La résilience et la vulnérabilité ne sont pas absolues, elles sont les constructions psychosociales d’un continuum phénoménologique. Par conséquent, un individu résilient n’est pas invincible à tous les événements de la vie, mais il a la capacité de supporter la plupart des circonstances. Les patients qui ont subi des traumatismes ou qui furent témoins d’événements traumatiques ont une plus grande vulnérabilité à l’état de stress tel le syndrome de stress post-traumatique (SSPT). Les ergothérapeutes doivent être conscients des capacités de résilience et d’adaptation d’un patient lorsqu’il fournit des services à un individu qui a subi un événement traumatique. Cet article explore la théorie de la résilience et son application à la pratique de l’ergothérapie.